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1 avril 2016
Solly Azar, l’Assurance Différence
En 2016, Solly Azar s'engage à accompagner au mieux ses courtiers partenaires pour les aider à faire la différence.
Bouleversement du marché Santé individuelle, assouplissement des conditions de résiliation pour les particuliers, facilité d’obtention de tarifs en ligne, évolution de la réglementation professionnelle, … Autant d’évolutions qui impactent profondément le métier du courtage en assurance et face auxquelles Solly Azar fait une nouvelle promesse à ses partenaires : celle de les accompagner au mieux pour les aider à faire la différence.
Plus de 10 nouveaux produits en 2016
Les nouvelles offres Garanties Accident de la Vie, Assurance Chien / Chat, Assurance Emprunteur vous apportent d’ores et déjà des opportunités de business. Prochainement, nos complèterons notre gamme avec des produits Santé et Prévoyance pour les Séniors et les TNS.
Les gammes Assurances Dommages (Moto, Auto, MRH), Risques Locatifs et Risques Professionnels (Multibat et Multipro) vont également être enrichies.
Des échanges réguliers et la mise en place en janvier dernier d’un outil de coworking avec nos intermédiaires, nous permettent d’ajuster et d’améliorer constamment nos produits, pour les rendre encore plus attractifs et proches des besoins de vos assurés.
Une équipe commerciale dédiée et connectée
Téléphone, Mail, Tchat, Skype, web call back… permettent aux conseillers commerciaux du « Solly Hub » de répondre très vite à toutes vos questions et de vous accompagner lors de la souscription des offres sur notre extranet sollyazarpro.com
Sur le terrain, 10 chargés de développement commercial ont été déployés en régions, pour aller à votre rencontre, vous aider à vous développer et organiser des formations sur nos produits et outils.
Convivialité et proximités vous souhaitez venir nous voir ? N’hésitez pas, la « Solly Factory » est là pour vous accueillir ! Cet espace de travail (bureaux, wifi, cafétéria) vous est exclusivement réservé à notre siège, au centre de Paris.
Un engagement de qualité de service et de réactivité
Les services clients Solly Azar, ce sont plus de 200 professionnels, à Lille, qui gèrent l’ensemble de la relation téléphonique, la gestion des contrats, l’indemnisation et les prestations, pour vous et vos assurés. Chaque mois, nos équipes traitent plus de 20 000 dossiers et plus de 45 000 appels.
Notre engagement ? Plus de 90% d’appels servis et un délai de 2 jours ouvrés maximum pour répondre à toute demande par mail.
C’est nouveau !
Pour vous aider à évaluer la conformité de vos activités d’intermédiation, nous avons mis en place, en partenariat avec le Cabinet de conseil Solvaliance, un outil de pré-diagnostic gratuit en ligne : Solvaliance.sollyazar.com
RENDEZ-VOUS DÈS MAINTENANT
www.sollyazarpro.com
01 40 82 81 49
(Prix d’un appel local)
Actualités
23 mars 2016
Le courtage à l’épreuve de la conformité et de Solvabilité 2
Face à un environnement qui se complexifie, quelles obligations pour les courtiers ?
Le métier de courtier en assurance évolue face au renforcement et à la complexification de l’environnement juridique, et face à l’accroissement des contrôles et exigences, de la part des clients, des partenaires et du régulateur.
Le point sur les obligations réglementaires de la profession.
L’environnement juridique devient de plus en plus complexe et le nombre de textes et d’obligations explose.
Impacts de la Loi Eckert, impacts de la loi Hamon, devoir d’information, devoir de conseils, compétences professionnelles, déshérence, réclamation, protection des données personnelles, des données médicales, protection du consommateur…. Autant de nouveaux textes et de nouvelles obligations à la charge du monde de l’assurance. Auxquels s’ajoutent Solvabilité 2 mais aussi toute la réglementation internationale (lutte contre le blanchiment des capitaux, le terrorisme, gestion des pays sous sanctions, embargos, législation US comme l’OFAC ou FATCA, ..) ainsi que les textes et Directives européens : nouvelle Directives sur la lutte contre le blanchiment des capitaux, MIFID 2, IDD (Directive sur l’intermédiation suite à DIA 1).
Parallèlement, le courtage est exposé à un nombre croissant de contrôles, provenant aussi bien des clients, des assureurs ou du régulateur. Des contrôles qui vont encore s’accentuer avec Solvabilité 2.
Dernièrement, l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) a ainsi renforcé considérablement ses équipes, avec pour effet une augmentation du nombre de contrôles sur place, du nombre d’entités contrôlées (assureurs, courtiers grossistes mais aussi courtiers) et, mécaniquement, une augmentation du nombre de sanctions.
L’impact de Solvabilité 2 pour le courtage d’assurance
D’après l’article 49 de la Directive, les actes réalisés par les délégataires engagent maintenant directement la responsabilité des assureurs, imposant une plus grande maîtrise des opérations déléguées et de la gestion des risques.
À noter : une délégation donnée par un assureur à un courtier en matière de gestion de sinistres entre dans le cadre de fonction dites critiques ou importantes au regard de la nouvelle législation.
En dehors même de toute délégation, la compagnie d’assurance doit aussi s’assurer du sérieux et du professionnalisme de son intermédiaire. Il s’instaure de plus en plus des vigilances quant à son inscription à l’Orias, ses capacités professionnelles, la manière dont l’intermédiaire respecte ses engagements en matière de devoir d’information et de conseil, dont il est organisé afin de répondre à ses obligations légales, etc.
Ainsi, il apparaît une difficulté croissante pour les assureurs dans le choix de déléguer une activité ou pas et dans la sélection du partenaire : risques de contrepartie et potentielle incidence financière, nouvelles contraintes de déclaration et de justification auprès de l’ACPR, risque de réputation et d’image de l’assureur via l’utilisation d’un courtier défaillant, … autant d’éléments qui viennent changer et contraindre les relations assureurs-courtiers.
Des changements importants pour les courtiers de proximité
L’assureur doit dorénavant mettre en place un processus de suivi et d’examen de ses intermédiaires afin d‘en assurer un contrôle efficace et de gérer les risques associés. Ces éléments vont s’accompagner de critères de sélection plus stricts de la part des assureurs dans le choix d’un partenaire, de vigilances plus poussées et plus régulières, de contrôles plus importants et plus rapprochés.
Cela induit également une mise en concurrence nouvelle, qui s’établira dorénavant non plus sur des critères techniques mais sur la capacité de l’intermédiaire à rassurer son partenaire sur sa conformité réglementaire et ses dispositifs.
Ainsi, les cabinets de courtage vont désormais être confrontés à un nouveau degré d’exigence de la part de leurs partenaires.
Ils devront notamment :
- Veiller à la qualité de leurs données et à leur fiabilité
- Assurer la traçabilité de leurs actions
- Documenter leurs dispositifs de maîtrise des risques et de contrôle interne
- Etre en capacité de prouver de l’efficience de leurs dispositifs.
Ils vont également faire face à des contrôles plus importants, plus fréquents, et consacrer plus de temps à des audits. En effet, l’ensemble des dispositifs devront être en place, régulièrement testés et auditables par l’assureur mais aussi par le régulateur.
À titre d’exemple, un cabinet de courtage s’est vu sanctionné par l’ACPR en juillet 2015 pour défaut de devoir d’information et de conseil et a ainsi dû s’acquitter d’une amende de 20 000€.
En dehors de la sanction pécuniaire, une sanction peut bien entendu avoir des conséquences très importantes en termes d’image et de réputation.
Solly Azar accompagne ses courtiers dans leur mise en conformité réglementaire
Pour la plupart des acteurs du marché, ces changements vont nécessiter des efforts importants pour se mettre à niveau.
En tant que partenaire et face à un enjeu de taille pour la profession, Solly Azar a choisi d’accompagner les courtiers de son réseau dans la mise en conformité légale de leur cabinet.
En partenariat avec la société Solvaliance, Solly Azar propose, à chacun de ses membres, un premier diagnostic offert puis des tarifs négociés pour un accompagnement personnalisé par un expert de Solvaliance.
Pour identifier instantanément le niveau de conformité de votre cabinet, nous vous invitons à réaliser votre pré-diagnostic.
La Solution Solvaliance
Professionnel de l’audit, de l’assurance et des sujets de risques et de conformité, Solvaliance aide les structures de courtage à répondre à leurs nouvelles obligations légales. 2 enjeux majeurs pour chaque cabinet de courtage : être moins exposé en cas de contrôle ACPR et conserver ses partenariats avec les assureurs et courtiers grossistes.
Solvaliance propose des prestations adaptées aux enjeux, moyens et risques de chaque structure (état des lieux, recommandations, mise en place de dispositifs) permettant aux cabinets de rester concentrés sur leur cœur de métier et développement.
En savoir plus sur la société Solvaliance
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21 mars 2016
Solly Azar lance un nouveau contrat d’assurance chiens chats
Dans la continuité de la refonte de sa gamme Santé/Prévoyance, Solly Azar lance sa nouvelle offre destinée à tous les propriétaires attentionnés de chiens et de chats.
Avec plus de 20 millions de chiens et chats de compagnie* en France, et face à une augmentation des dépenses vétérinaires de plus de 72% en 10 ans, les français souscrivent de plus en plus une « mutuelle » pour protéger leur animal.
Afin de répondre à ces préoccupations et apporter la meilleure solution, la nouvelle offre de Solly Azar propose plusieurs niveaux de garanties pour une prise en charge des frais chirurgicaux, de la médecine courante chez le vétérinaire et des soins préventifs (vaccin, stérilisation, détartrage).
Parmi les spécificités de ce contrat, on retrouve l'acceptation des chiens de catégorie 2 tels que certains rottweilers et ce sans majoration tarifaire, des garanties qui ne diminuent pas avec l'âge de l'animal et un tarif dés 10 € par mois.
Pour se distinguer sur ce marché concurrentiel, l'offre se démarque également par :
- Une souscription dés les 3 mois de l'animal,
- Une tarification en fonction de la race de l'animal (et non de l'âge)
- Une assistance avec prise en charge des frais d'obsèques, des frais de pension en cas d'hospitalisation du maître et d'un service d'information et de conseils (alimentation, toilettage, hôtels…),
- Un capital décès jusqu'à 300 euros,
- Une souscription en ligne avec un nouveau tarificateur plus ergonomique et pouvant étre installé sur les sites web de nos intermédiaires.
Pour plus de renseignements, vous pouvez consulter notre offre chiens et chats
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9 mars 2016
Solly Azar Assurances participe aux 7èmes Foulées de l’Assurance
Solly Azar renouvelle sa participation pour la 7ème année consécutive.
« Ensemble bougeons pour le cœur ». Tel est le slogan des Foulées de l’assurance qui organise cet effort de solidarité au profit de la prévention des maladies cardiovasculaires. Cet événement est l’un des seuls qui fédère l’ensemble des acteurs de l’assurance. La 6ème édition des Foulées de l’assurance avait réuni près de 4000 participants.
Au programme : deux courses pour soutenir deux associations
Quelques chiffres : chaque année en France, 100 000 personnes sont atteintes d’infarctus du myocarde et 50 000 personnes meurent d’un arrêt cardiaque. Les Foulées de l’Assurance réunissent tous les ans, compagnies d’assurance, cabinets de courtage et courtiers grossistes, pour soutenir l’action de 2 associations au travers 2 activités sportives :
- Les 10 Km du Cœur organisés au profit d’Adicare. Cette association œuvre pour le développement et les innovations en cardiologie. Les recettes de la course (inscriptions et dons) seront donc reversées à cette association.
- La Marche du Cœur permet de venir en aide à l’association Fais Battre Ton Cœur, pour que l’arrêt cardiaque ne soit plus une fatalité. La marche de 8 km accueillera des marcheurs avec ou sans bâtons de marche nordique. Pour tous les inscrits à la course et à cette marche nordique, un certificat médical ou une licence en cours de validité est obligatoire, y compris pour les enfants.
Cet événement auquel participent collègues, amis et familles, prendra cette année place le 20 mars au cœur du Bois de Boulogne. Son village installé au bord du Lac Inférieur accueillera le public et les partenaires avec des animations et de nombreux stands d’informations sur la prévention santé et le respect de l’environnement. Les participants pourront s’informer et se désaltérer. Ils auront également la possibilité de conserver un souvenir en téléchargeant gratuitement leur photo d’arrivée sur le site Photorunning
Partenaire historique des Foulées de l’Assurance, Solly Azar soutient pour la 7ème année consécutive cette belle action. Les collaborateurs tiendront un stand au village pendant toute la journée, pour accueillir et encourager les participants.
Pour plus d’informations sur les horaires, accès et inscriptions à la course, cliquez ici.
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2 mars 2016
Assurance chien et chat : des garanties conçues au poil près
Maintenir son animal de compagnie en bonne santé est essentiel mais de plus en plus coûteux. Zoom sur le marché de la santé animale.
Alors qu’il est courant pour nos voisins européens d’assurer leurs animaux de compagnie, encore beaucoup de français ont décidé de se passer de cette protection. Comment sensibiliser vos clients à l’assurance santé chien/chat ?
Le marché de l’assurance chien et chat en France
En 2016 plus de 63 millions d’animaux de compagnie sont présents au sein d’un foyer français sur deux. Si leur santé et leur bien-être sont une priorité pour tout propriétaire de chiens ou chats, le marché de l’assurance santé animale est relativement récent en France apparu dans le courant des années 90, et son essor reste timide.
Peu de maîtres souscrivent à ce type de protection en raison du manque d’informations. Ils sont pourtant soucieux de la santé de leur animal et dépensent parfois beaucoup pour prendre soin d’eux : alimentaire, l toilettage, accessoires… Les sensibiliser aux risques de maladie, d’accident et aux frais qu’ils représentent s’avère aujourd’hui indispensable.
L’assurance animale, qu’est-ce que c’est ? En fonction de la formule choisie, ce type d’assurance permet le remboursement des frais vétérinaires et d’hospitalisation en cas de maladie ou d’accident. La souscription à cette assurance animale n’est pas obligatoire et relève d’une démarche volontaire. Celle-ci est différente de l’assurance responsabilité civile qui couvre les dommages occasionnés sur autrui.
Une santé fragile et coûteuse
Entre les vaccins, les problèmes dentaires et les cancers de la peau, maintenir un animal de compagnie en bonne santé est de plus en plus onéreux : les frais vétérinaires ont augmenté de 72% en 10 ans. Une simple consultation peut par exemple coûter de 35 à 50€ ; la stérilisation d’un chien de 50 à 400€ ; le rappel de vaccin jusqu’à 95€ et l’ablation d’un kyste entre 170 et 230 €.
Tout comme l’humain, le chien est sensible au soleil et peut développer un cancer de la peau, le cancer le plus fréquent chez les chiens. Ils ont 34 fois plus de risques de développer ce cancer que les humains.
Autre maladie importante : la Kérato-Conjonctivite Sèche, souvent appelée « œil sec », qui affecte 1 chien sur 22. Pour certaines races, ce chiffre peut même être doublé. Le traitement nécessaire peut s’élever à partir de 60 €
Les frais dentaires sont également inévitables puisque 80% des chiens et 70% des chats ont des problèmes dentaires dès l’âge de trois ans et les coûts de détartrage s’élèvent en moyenne à 100€.
Enfin, en cas d’accident, une consultation d’urgence se situe entre 50 et 100 €, tout comme le bilan sanguin ; l’opération chirurgicale avec anesthésie et frais d’hospitalisation représente quant à elle entre 300 et 1500€. A cela peuvent s’ajouter les médicaments et visites de contrôle.
Solly Azar, expert du marché Chien Chat depuis 1984
Solly Azar propose une offre étendue, avec différents niveaux de garanties adaptés aux besoins et au budget de chacun. Accessible à tous les animaux âgés entre 3 mois et 8 ans, et notamment, sans majoration, aux chiens dangereux, l’offre présente les tarifs d’appel les plus bas du marché : à partir de 10€/mois. La souscription se fait en ligne et ne nécessite pas de formalités.
Un contrat complet qui propose à la fois :
- Le remboursement des frais de santé
- Des forfaits « Prévention » pour prendre en charge le coût des vaccins, stérilisation, détartrage, etc.
- Un capital décès de 300€
- La prise en charge des frais obsèques/euthanasie et d’incinération
- Des garanties qui ne diminuent pas avec l’âge de l’animal
- La possibilité de couvrir plusieurs animaux pour un même souscripteur avec une réduction sur le 2ème animal
- Des délais d’attente réduits : 45 jours en cas de maladie et 2 jours en cas d’accident
Vous êtes intéressé par notre nouvelle assurance chien et chat ?
Assurance animaux
Pour en savoir plus sur notre assurance chien chat :
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26 février 2016
La distribution d’assurance échappera-t-elle à l’ubérisation ?
Philippe Saby, Directeur Général de Solly Azar, a présenté à la presse une réponse pragmatique, issue d’une longue expérience du marché du courtage.
L’ubérisation est un ensemble de services qui via le numérique rapproche le producteur et le consommateur dans une relation directe et quasi instantanée. Après les taxis, l’économie ou la finance, quels sont les risques d’ubérisation sur la distribution d’assurance ? Philippe Saby nous livre sa vision du sujet et les impacts sur le secteur du Courtage.
Oui, l’Assurance peut échapper à l’ubérisation car…
Le produit d’assurance est particulier, il est très réglementé, jusque dans sa distribution. C’est également un produit complexe et peu attractif, perçu souvent par les clients plus comme une obligation que comme un service. Il nécessite donc, notamment au moment de la souscription, l’accompagnement d’un interlocuteur de confiance. Ainsi, ce risque d’ubérisation doit conduire les intermédiaires à conforter dans la relation avec leurs Clients leur rôle de conseil, faire preuve de pédagogie et renforcer la proximité. Seuls ces facteurs clés feront la différence.
Par ailleurs, les mécanismes de l’assurance sont particulièrement complexes et méconnus des particuliers et des professionnels, ce qui limite encore ce risque d’ubérisation.
Pour autant, notre conviction est qu’il faut simplifier les produits d’assurance, à travers des offres explicites, qui puissent correspondre aux attentes du client, à son profil et à son usage. Par exemple, Solly Azar ne propose pas une gamme auto classique et globale, mais des contrats spécifiques pour les conducteurs malussés, les jeunes sans antécédent ou les propriétaires de véhicules haut de gamme.
Non, elle ne pourra échapper à l’évolution de la relation entre l’assuré et les acteurs de l’Assurance…
Les enjeux résident aujourd’hui dans la capacité de l’ensemble des parties prenantes à évoluer et à s’adapter pour faire face au développement du digital, qui a changé en profondeur les comportements et les attentes du client. Si le produit d’assurance ne peut être « uberisé », la relation, elle, doit se transformer. D’une relation imposée et verticale, nous allons vers un modèle d’échanges qui sera spatial, triangulaire et évolutif dans le temps entre les acteurs.
Pour cela, Solly Azar se donne pour objectif d’ici quelques mois de mettre à la disposition de ses intermédiaires et de leurs assurés, un espace transactionnel innovant : la Solly Box, qui permettra à l’assuré d’avoir accès à toutes les informations et fonctionnalités relatives à ses différents contrats d’assurance, tout en partageant cet espace avec son courtier, afin que celui-ci garde ce rôle de générateur de confiance et d’acteur de proximité, tout en bénéficiant des investissements de Solly Azar dans les meilleurs apports du numérique et de la digitalisation.
Afin d’accompagner ses intermédiaires dans cette transformation, Solly Azar mise sur les valeurs que l’entreprise porte depuis sa création et qui composent son ADN : la proximité et la différenciation. La proximité, via la mise en place de 10 chargés du développement commercial sur le terrain, et la création du « Solly Hub », plateforme de conseil et d’accompagnement à distance. La différenciation, par la refonte de l’ensemble de ses gammes, avec plus de 10 nouveaux produits en 2016, pour permettre aux courtiers de répondre aux besoins de leur clientèle, de développer leur portefeuille et fidéliser leurs assurés.
Actualités
17 février 2016
Tout savoir sur la directive relative à l’intermédiation en assurance (DIA2)
Les députés européens ont adopté le 24 novembre 2015 la Directive sur l’intermédiation en assurance DIA2.
Quel est le champ d’application de cette nouvelle directive ?
Cette nouvelle directive vient abroger celle sur l’intermédiation en Assurance adoptée le 9 décembre 2002 et couvre désormais la totalité des canaux de distribution en assurance. Ainsi, elle s’applique aux courtiers, aux compagnies mais aussi aux nouveaux acteurs tels que les comparateurs, les vendeurs d’assurances complémentaires à la fourniture de biens ou de services dès lors que le montant de la prime dépasse le seuil de 600 euros par an.
Quels sont les objectifs visés par DIA2 ?
La Nouvelle directive instaure un nouveau cadre règlementaire, elle vient notamment renforcer les dispositions européennes relatives aux informations et aux conseils dans le but d’apporter plus de protection aux consommateurs quel que soit les canaux de distribution.
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Plus de transparence :
La nouvelle version de cette directive met d’avantage l’accent sur la garantie d’une plus grande transparence de la part des distributeurs au bénéfice des clients qui seront en mesure de prendre des décisions plus éclairées.
Ainsi, le client devra être informé à minima sur les points suivants :
- Le statut des distributeurs d’assurance : Assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance,
- La nature de la rémunération de l’intermédiaire distributeur
- Le coût total du contrat d’assurance, notamment les frais liés aux conseils et aux services pour certains produits d’assurance-vie dits « complexes »
- La directive prévoit en matière d’assurance dommages, l’obligation de mettre à disposition un document standardisé sur le produit.
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Protéger davantage les consommateurs
Les distributeurs seront tenus d’identifier et de gérer tout conflit d’intérêt avec le client. De ce fait, des procédures de réclamation et de recours extrajudiciaires seront nécessaires pour régler les litiges entre les distributeurs de produits d’assurance et les consommateurs.
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L’obligation d’immatriculation et de formation
Parmi les dispositions prévues par la directive figurent notamment des obligations d’immatriculation mais aussi de formation. Les intermédiaires d’assurance et de réassurance ainsi que les intermédiaires d’assurance à titre accessoire doivent être immatriculés par les autorités compétentes.
Par ailleurs, ces intermédiaires seront tenus de souscrire une assurance Responsabilité Civile afin de couvrir leur responsabilité résultant d’une faute professionnelle, à raison d’au moins 1,25 millions d’euros par sinistre et 1,85 millions globalement pour l’ensemble des sinistres survenus au cours d’une année.
Concernant la formation, les distributeurs d’assurance doivent suivre au moins 15 heures de formation professionnelle continue par an.
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Transposition de la directive
Cette Directive doit être transposée en droit national dans un délai de 24 mois soit en novembre 2018.
Vous pouvez accéder à l’intégralité de la directive en cliquant ici
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10 février 2016
Découvrez VISALE : la nouvelle solution contre les loyers impayés
Qu’est-ce que le VISALE ? A qui est-il destiné et que couvre-t-il ?
En matière de protection contre les loyers impayés le gouvernement a successivement mis en place plusieurs solutions. Cependant, aucune d’entre elles n’a apparemment pas su convaincre et s’installer durablement. Depuis le 25 Janvier dernier un nouveau dispositif est entré en vigueur : le VISA pour le Logement et l’Emploi, appelé aussi communément « VISALE ». Ce dispositif vient remplacer définitivement la garantie des risques locatifs (GRL).
Protection contre les loyers impayés, un marché en constante évolution
A plusieurs reprises, le marché de garantie des risques locatifs a été bousculé par la législation. Afin d’éclairer les choses voici un rapide descriptif des différentes solutions dont vous avez pu entendre parler.
La Garantie des Risques Locatifs : Aussi appelée GRL, il s’agit d’un contrat d’assurance proposé aux bailleurs afin de se protéger contre les loyers impayés. N’ayant pas eu le succès escompté, la GRL est voué à disparaître. Plus aucun contrat GRL ne peut être souscrit depuis le 31 décembre 2015 et les contrats en cours ne pourront être renouvelés.
La Garantie des Loyers Impayés : Egalement appelé GLI, la garantie des loyers impayés est le successeur de la GRL. Un contrat d’assurance GLI protège le propriétaire contre les impayés, les dégradations et prend en charge l’éventuelle action en justice à engager contre le locataire.
La Garantie Universelle des Loyers : la GUL est un projet de protection qui a fait beaucoup parlé mais qui n’a jamais vu le jour. Initié par Cécile Duflot, la GUL était un dispositif de protection distribué par les assureurs mais financé par l’état qui avait pour objectif de protéger les propriétaires tout en favorisant l’accès au logement pour les locataires en situation précaire.
Le VISA pour le Logement et l’Emploi : Le VISALE est la nouvelle solution qui remplace la GUL, nous vous expliquons tout ce qu’il faut savoir dans la suite de cet article.
Qu’est-ce que le dispositif VISALE ?
Le VISALE est le tout dernier système de protection contre les loyers impayés. Depuis janvier dernier, le VISALE permet aux propriétaires dont le locataire est soit en situation précaire soit jeune actif d’être remboursé en cas d’impayés. Il s’agit d’un système 100% gratuit et financé par Action Logement. Le VISALE propose des garanties plafonnées et limitées dans le temps
Qui peut en bénéficier ?
Le dispositif VISALE n’est pas accessible à n’importe quel locataire, il faut en effet que ce dernier corresponde à l’un des trois profils suivants :
Salarié précaire (secteur privé) de plus de 30 ans entrant dans un logement dans les 3 mois suivant leur prise de fonction et dont le loyer n’est pas supérieur à la moitié de ses revenus. Apprentis, intermittents, intérimaires, employés en CDD et employés période d’essai de leur CDI sont donc éligibles.
Salarié (secteur privé) de moins de 30 ans entrant dans un logement dans les douze mois suivant leur prise de fonction quelque soit le contrat de travail.
Ménage en difficulté logé dans le parc privé par le biais d’un organisme d’intermédiation locative agréé.
Que couvre VISALE ?
Le VISALE protège les propriétaires en cas de loyers impayés (charges comprises) dans la limite de 1 500 €/mois à Paris et 1 300 €/mois dans le reste de la France pendant les trois premières années du bail sans franchise ni carence.
La garantie VISALE ne prend pas en compte les dégradations locatives, pour cela il faut souscrire à une assurance GLI.
Que se passe-t-il en cas d’impayé ?
Lorsque le locataire n’est plus en capacité de payer son loyer, action logement prend le relai. Attention, l’aide apportée par le VISALE est une aide ponctuelle et provisoire, au moment où le locataire est de nouveau solvable il devra, en plus de régler ses prochains loyers, rembourser Action Logement pour toutes les sommes réglées au propriétaire. Il pourra demander un échéancier mais s’il n’est pas capable de respecter ses engagements Action Logement pourra exiger la résiliation du bail.
Solly Azar Assurances : experts en loyers impayés
Fort de ses 20 ans d’expérience, Solly Azar Assurances est un acteur référent sur le marché des loyers impayés. Proposant des solutions tant aux professionnels de l’immobilier qu’aux propriétaires bailleurs, n’hésitez pas à nous contacter afin d’obtenir conseils et informations. Solly Azar Assurances et son réseau de 8000 courtiers partout en France seront ravis de vous assister.
Actualités
3 février 2016
En Europe, le sexe n’a aucune influence sur les tarifs des assurances
Depuis le 21 décembre 2012 un arrêté interdit aux compagnies d’assurance de pratiquer une politique tarifaire différenciée selon le sexe du client.
Etre un homme ou une femme influencerait le niveau de risque
C’est en tout cas ce qui se pratiquait à l’époque par les compagnies d’assurance pour justifier les écarts de tarif entre hommes et femmes. En effet, d’après des études statistiques, être un homme serait plus ou moins risqué pour certains types d’assurances et inversement pour les femmes. Voici quelques exemples ci-dessous :
Assurance Auto
Selon des données actuarielles, un homme aurait trois fois plus de chance de mourir suite à un accident de la route qu’une femme. Il a également deux fois plus de chance de se blesser. En résumé, un homme coûte en moyenne plus cher aux compagnies d’assurance c’est pourquoi avant le 21 décembre 2012, les femmes payaient leur assurance auto jusqu’à 45% moins cher que les hommes.
Mutuelle Santé
Au niveau des complémentaires santé la situation est inversée. Les femmes payaient leur mutuelle plus chère que les hommes car présumées plus consommatrices en matière de frais de santé. En effet, avec la maternité, un suivi gynécologique et des dépenses de santé plus importantes à partir de 50 ans la femme était pénalisée sur le tarif de sa mutuelle.
Une pratique jugée discriminatoire
Selon la charte des droits fondamentaux de l’union européenne datant de 2007, il est désormais interdit d’appliquer une différence de toute nature entre les hommes et les femmes (rémunération, accès à l’emploi…). Cette clause est en application depuis le 21 décembre 2012. Depuis, tous les contrats d’assurance présents sur le marché proposent des tarifs identiques pour tout le monde sans tenir compte du sexe.
Actualités
27 janvier 2016
Les défauts d’assurance auto bientôt repérables par les radars automatiques
Le défaut d’assurance auto est devenu un des enjeux du gouvernement. Parmi les solutions abordées, il est question de perfectionner les radars automatiques.
Sécurité routière : un bilan négatif
Depuis plusieurs années, les chiffres concernant la sécurité routière ne progressent plus, c’est pourquoi le gouvernement a clairement montré ses intentions d’inverser la tendance. Quelques mesures ont vu le jour, comme l’interdiction du kit main-libre au volant ou encore la baisse du taux d’alcoolémie à 0.2g/l pour les jeunes conducteurs. Le prochain défi est de lutter contre les défauts d’assurance et il ne faudra plus attendre très longtemps avant que des solutions soient mises en place.
Le défaut d’assurance est un délit, il concerne officiellement 2% des véhicules en circulation soit environ 1 million d’usagers. Depuis 7 ans on a pu noter une augmentation de 30% des accidents impliquant une personne en défaut d’assurance auto.
On peut également considérer les conducteurs sans assurance comme des profils à risque puisque un accident sur 10 donnerait lieu à un délit de fuite ou à la découverte d’un défaut d’assurance.
Comment lutter contre le défaut d’assurance auto ?
La première solution est tout simplement de rendre impératif la demande d’attestation d’assurance lors de l’immatriculation d’un véhicule ainsi que lors d’un retrait d’un véhicule à la fourrière. Aujourd’hui les défauts d’assurance sont détectables uniquement par des moyens physiques, le gouvernement compte bien jouer sa meilleure carte avec des radars automatiques pour 2016.
Le principe est simple, au moment de flasher un conducteur en excès de vitesse ou en situation de non-respect du feu rouge, les radars automatiques seront bientôt capables de croiser les numéros de plaque d’immatriculation avec les fichiers clients des assurances. Ainsi, lorsqu’un conducteur roule en infraction il sera automatiquement repéré et sanctionné. Le même procédé sera applicable lorsqu’un conducteur croisera une voiture banalisée de police ou gendarmerie équipée du système de lecture de plaque adéquat.
Tout le monde y gagne, sauf les fraudeurs
Lutter contre les défauts d’assurance est en fin de compte profitable à tout le monde, sauf aux fraudeurs :
Gouvernement : Avec un tel dispositif le problème des défauts d’assurance devrait rapidement diminuer ce qui peut avoir un impact sur les chiffres de la sécurité routière.
Assureurs et Assurés : Aujourd’hui, les assureurs financent le Fonds de Garantie : un organisme qui indemnise les victimes d’accidents dont les responsables sont en fuite ou n’ont pas les moyens (ou l’assurance) de prendre en charge les indemnités dues. Le financement du Fonds de Garantie se répercute sur les primes d’assurance payées par les assurés. Faire baisser le nombre de conducteurs sans assurance est donc profitable aux assureurs ainsi qu’aux assurés.
Aujourd’hui le défaut d’assurance est passible d’une amende de 3 750€, d’une suspension de permis pouvant atteindre 3 mois et de la confiscation du véhicule. Ces sanctions peuvent sembler lourdes mais elles ne représentent rien face aux risques encourus par un conducteur sans assurance. S’il provoque un accident grave il aura des centaines de milliers d’euros à rembourser toute sa vie (2/3 des conducteurs sans assurance ont moins de 35 ans).
Pour le moment aucune date de mise en place n’a été spécifiée, quelques freins techniques ont retardé le projet. Néanmoins, l’objectif sera de le lancer courant 2016.